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15 janvier 2018 1 15 /01 /janvier /2018 09:27

20 structures ont participé au vote.  Il y a eu plus de 200 votants et plus de 1 300 romans lus.

« Madeleine project » a été le livre le plus lu et le roman le moins lu « Charlie le simple ».

Pour la première fois en 9 ans, les 10 romans de la sélection arrivent premiers. 

Le lauréat 2017 est donc Travis Mulhauser pour son roman Sweetgrirl.

 

A TRES bientôt pour la 10è édition.

 

 

Résultats des votes 2017

Complètement livres !

1

7.4

Sweetgirl

Travis Mulhauser

2

7

Etta et Otto (et Russel et James)

Emma Hooper

3

6.62

Pigeon, Canard et Patinette

Fred Guichen

4

6.60

Shots

Guillaume Guéraud

5

6.41

Tout va très bien, madame la comtesse !

Francesco Muzzopappa

6

6.32

Les brasseurs de la ville

Evains Wêche

7

6.30

Bons baisers de Mesménie

Fabienne Betting

8

6.21

Madeleine project

Clara Beaudoux

9

6.07

Charlie le simple

Ciaran Collins

10

6.01

Lagos lady

Leye Adenle

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5 janvier 2018 5 05 /01 /janvier /2018 13:18

Bonjour à toutes et tous,

 

Pour bien commencer cette nouvelle année, nous vous proposons

ce rendez vous. A vos agendas et Meilleurs Vœux 2018

Meilleurs voeux et nouveau RDV
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11 décembre 2017 1 11 /12 /décembre /2017 10:32
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28 novembre 2017 2 28 /11 /novembre /2017 14:48

Pour les personnes qui n'ont pas pu venir :

Une vidéo de la remise de prix

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23 novembre 2017 4 23 /11 /novembre /2017 14:25
"J'écris pour vivre d'autres vies" citation de Gaëlle Nohant lors de notre rencontre
"J'écris pour vivre d'autres vies" citation de Gaëlle Nohant lors de notre rencontre
"J'écris pour vivre d'autres vies" citation de Gaëlle Nohant lors de notre rencontre
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21 novembre 2017 2 21 /11 /novembre /2017 11:27

A propos du livre « La part des flammes »  de Gaëlle Nohant (éditions Héloise d'Ormesson)

Lauréat « complètement livres ! »

 

P13, 88, 96 132 161, il est fait mention du baron de Mackau, un des organisateurs du bazar de la charité.

Quel est le rapport avec l'Alsace ?

L'Histoire (sources provenant d'un livre sur les blasons d'Alsace(?), dont les  sources sont aux archives du Bas-Rhin .)

 

Sous le règne de la reine Elisabeth I d'Angleterre, une branche de la famille Mackeogh (qui se prononce en gaélique Mackyo…),  originaire d'Irlande, du comté de Connaugh, se fixa à Waremme, dans l'évêché de Liège. (Ils francisèrent alors leur nom de famille en "Mackau").

Un descendant, « François-Guillaume, quitta Waremme fort jeune, pour entrer comme page au service du roi de Suède. Nommé plus tard, sur la recommandation de ce prince, directeur de l'école d'équitation de Stuttgart, il vint vers 1675 s'établir à Strasbourg, y épousa une alsacienne en 1676, Catherine-Barbe Albertini d'Ichtersheim (Ichtratzheim), et fut placé quatre ans après, à la tête d'un établissement semblable à celui qu'il avait dirigé en Wurtemberg. Il fut également Inspecteur Général des Haras d'Alsace. Pendant près de trente ans il parcourut toute l'échelle des dignités municipales. En 1698, il avait obtenu de l'empereur d'Allemagne, pour lui et ses descendants , le titre de baron de Saint Empire , que le gouvernement royal confirma en septembre 1701 et en juin 1717.  Après le décès de sa première femme, le baron de Mackau épousa , en 1695, Françoise-Marie d'Elsenheim. De la première union naquirent douze enfants, entre autres : 

François-Joseph, connu sous le nom de baron de Hürtigheim. (qui eut  lui-même un grand nombre d'enfants). Il possédait, en outre, le petit château de Fegersheim. Il est enterré dans la vieille église d'Hurtigheim.

Louis-Eléonor, son fils,  né en 1727, fut élu stettmeister de Strasbourg et ministre du Roi Louis XV auprès de la diète de Ratisbonne. Il mourut en Allemagne en 1767 et enterré à Hipsheim. Sa femme, Marie-Angélique de Fitte de Soucy, devint en 1771, sous-gouvernante des enfants de France. Elle fait été choisie sur la recommandation de Madame du Han de Crèvecoeur, directrice de l'Ecole de Saint Cyr pour s'occuper des petits enfants de Louis XV, en particulier Madame Clotilde et Madame Elisabeth puis plus tard des enfants de Louis XVI et en particulier de Madame Royale. La lettre proposant le poste à Madame de Mackau était arrivée à Fegersheim le 23 décembre 1770. A la fin de 1771, après avoir assisté au passage de Marie-Antoinette à Strasbourg, elle partit pour Versailles, prenant avec elle ses deux filles. Elle avait laissé son fils auprès du Cardinal de Rohan. 

Renée-Suzanne-Marie-Louise fut comme sa mère, sous-gouvernante des enfants de France, en 1771. Elle agit épousé son cousin germain Louis de Fitte de Soucy.

Angélique-Charlotte, née en 1762, fut la principale amie de Madame Elisabeth de France, soeur de Louis XVI. Elle avait épousé Marc-Marie de Bombelles hussard et ambassadeur. Elle mourut de chagrin en exil en Silésie après avoir appris la décapitation de la soeur du Roi. Son mari avait été un ambassadeur des rois, puis à la mort de sa femme il entra dans les Ordres en Silésie. A la restauration il devint aumônier de l'Elysée auprès de la Duchesse de Berry, puis évêque d'Amiens. Il est mort à l'Elysée en 1822 et a été inhumé dans la cathédrale d'Amiens.

Leur fils Armand-Louis, né en 1759, avait été page du Cardinal de Rohan et avait fait ses études militaires à Strasbourg. Il fut nommé ministre de Louis XV à Stuttgart auprès du Duc de Wurtenberg puis ministre du roi auprès de la Reine de Naples, Marie-Caroline, soeur de marie Antoinette. Là les idées jacobines du ministre français le fit rejeter de Naples. Replié sur Rome, son secrétaire, Hugon de Basseville y fut assassiné par la communauté française royaliste. Il épousa Madeleine-Félicité Alissan de Chazet dont il eut quatre enfants, dont seuls survécurent deux : une fille Annette et un fils Ange René Armand, né en 1788, mort en 1855. Ce dernier  devint  un grand marin, ami de Jérôme Bonaparte, grand Amiral… Il fut gouverneur de la Martinique où il commença à émanciper les esclaves, combattit avec les anglais le général Rosas en Argentine, accorda l'indépendance d'Haïti… Il devint pair de France en 1841 et ministre de la marine de Louis Philippe en 1843. Il fut avec Alexis de Tocqueville et Victor Schoelcher, à l'origine des premières lois abolissant l'esclavage.

Armand de Mackau eut un fils, Ann-Frédéric-Armand de Mackau, qui suivit une carrière politique en Normandie dans l'Orne. Il devint président de l'institution du Bazar de la Charité, une oeuvre de bienfaisance, qui avait installé ses stands dans un hangar situé sur un  terrain de la vue de la rue Jean Goujon à Paris. Le 4 mai 1897, lors d'une démonstration du Cinématographe des frères Lumière, l'appareil  de projection  alimenté en éther, prit feu et le barnum s'embrasa. Il y eut plus de cent-vingt morts dont la soeur de l'Impératrice Sissi, la duchesse d'Alençon, une amie de la famille. Ann Frédéric de Mackau fut jugé par une cour d'assises : il fut condamné à 500 francs d'amende, le projectionniste Bailac, à un an de prison et 300 francs d'amende, son assistant Bagrachow à 8 mois de prison et 200 francs d'amende. A l'emplacement de la catastrophe  de la rue Jean Goujon a été érigée en 1905 une chapelle expiatoire dans le style Louis XVI : en souvenirs d'Angélique de Mackau.

 

La soeur d'Armand, Annette, épousa un certain Jules Hennecart, financier d'origine belge, qui fut à l'origine de la création de la ville de La Baule sur trente hectares qu'il avait achetée au bord de la mer alors qu'il possédait le chemin de fer entre Paris et Saint Nazaire. (Ils eurent plusieurs enfant dont une fille Renée qui épousa Christian d'Aboville. Ils eurent une fille Anne qui fut ma grand-mère maternelle). 

 

Les lieux :

Perdu au milieu d'un petit bois, à Fegersheim, rue des moulins, entre l'Andlau et la Scheer se trouve le charmant petit château dont il est fait mention ci-dessus. Avant d'en connaître un peu son histoire, je l'appelais « la maison du Grand Meaulnes ». Ce petit château avait été donné par Ascanio Albertini en dot lors du mariage de sa fille Catherine Barbe avec François Guillaume de Mackau. Il l'ait acheté en 1630. Cette propriété reconstruite après plusieurs incendies, avait été, à l'origine, un pavillon de chasse. La propriété comportait alors une ferme et le Moulin toujours présent. Les Mackau habitaient le plus souvent à Strasbourg, près de l'Hôpital et rue Arc en Ciel.

La voie cyclable qui va de Fegersheim à Ichtratzheim et Hipsheim longe en partie la propriété. 

A Hipsheim, l’église St Ludan, située le long de la R N 1083 possède en son cœur une stèle, martelée pendant la révolution, qui porte le nom de Mackau, le mari d'Angélique sous-gouvernante des enfants de France.

 

 

NB : les noms de Constance d'Estigel et de Violaine de Raezal, ne figurent pas dans l'environnement des familles impliquées lors de l'incendie de du Bazar de la Charité

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19 novembre 2017 7 19 /11 /novembre /2017 16:43

Avant de vous remettre votre prix, permettez-moi, Madame, de vous livrer quelques réflexions que votre livre m’a inspirées.

    « Au Bazar de la Charité, cette semaine au cinéma : cadavres exquis »

    Voilà un titre, parmi d’autres, qui aurait pu faire la Une de Charlie Hebdo si ce journal satirique avait existé en 1897, au moment de ce tragique fait divers. L’incendie du Bazar de la Charité à Paris, à l’origine de votre roman, a fait plus de 120 morts lors d’une  vente caritative.

    Comment ne pas faire le parallèle avec l’incendie du 5/7, ce dancing où périrent en 1970, plus de 140 jeunes gens. Ils fêtaient en toute  insouciance leur  liberté, tandis que se mourait le Général de Gaulle, l’homme qu’ils avaient contribué à renvoyer chez lui ,après mai 1968 .Le journal Harakiri, qui allait  devenir Charlie Hebdo, titra une de ses Unes les plus célèbres : « Bal tragique à Colombey : un mort. »
    Ces deux drames ont ceci en commun qu’un début d’incendie accidentel se transforma très vite en tragédie, à cause du grand nombre de personnes confinées dans un bâtiment aux accès  restreints, et fait  de matériaux hautement inflammables et toxiques : la leçon de 1897 n’avait pas servi.

    L’histoire des hommes est faite d’une multitude d’incendies dont certains ont plus marqué les esprits par les tragédies vécues et leurs conséquences.
     Ainsi, la disparition des grands prédateurs, les dinosaures, suite à l’embrasement de toute la Terre , permit aux petits mammifères de survivre et aux Hommes d’apparaître plus tard : nous en sommes les descendants. De même, l’incendie de Rome, à l’origine incertaine, sous le règne de Néron qu’il attribua à cette nouvelle secte juive des Chrétiens et dont le martyr débuta. Tout comme Napoléon Ier qui vit son destin basculer après avoir atteint la ville de Moscou réduite en cendres par ordre du tsar.
    Aussi tragique soit-il, le feu semble souvent, malgré les malheurs qu’il déclenche, être la source d’un changement notoire, d’un renouveau dans la vie des Hommes, ou en tout cas déclencher de nouveaux questionnements.

    Vous connaissez l’histoire de cet oiseau de légende, Le Phénix,  qui après avoir vécu longtemps, se consume pour mieux renaître de ses cendres et démarrer une autre vie. Je me suis demandé en quoi votre livre n’était pas une nouvelle illustration de cette fameuse légende et j’ai trouvé quelques réponses.

    Paix à toutes celles et ceux (ils étaient peu nombreux) qui périrent dans ce monstrueux incendie  du Bazar de la Charité. La plupart des victimes étaient des dames de la Haute Noblesse qui jouaient les dames patronnesses, au service des plus pauvres.
    Parmi elles, la duchesse d’Alençon,  la  sœur d’Elisabeth d’Autriche dite Sissi. C’est un personnage clé de votre livre. Elle  fut un temps fiancée à son cousin, le Roi  Louis II de Bavière dont on connaît le destin tragique.
    Le XIXe siècle a été marqué en France par des va et vient entre  République, Empire et Monarchie, avec la religion catholique qui se battait pour conserver son emprise sur le peuple. En 1897, au moment de votre histoire,on était sous la IIIème République, depuis la fin du second  Empire . Cette République, maudite des nobles nostalgiques de la royauté, de l’Empire, mais aussi du clergé, fut accusée d’être la cause de ce désastre, certains y voyant la main de Dieu qui voulait se venger.
    Vaille que vaille, cette  République tint bon, promulgua  en 1901 la loi autorisant les associations, toujours en vigueur et surtout, en 1905, la loi de séparation de l’Église et de l’État. Hasard ou pas, il ne devait plus y avoir de retour à la monarchie après cette date, comme si, dévastée par ce drame digne de la Terreur, noblesse et clergé  se résignaient à vivre avec les lois de la  République.

    Il y a  plusieurs figures féminines emblématiques dans votre roman, dont Violaine de Raezal et Constance d’Estingel . Ces deux femmes ont en commun d’être rebelles, insoumises, luttant pour mener leur vie à leur façon, loin des contraintes  parentales ou sociétales. Le thème que vous abordez au travers d’elles, est celui de la condition féminine à cette époque. Si au XVIIIe, celui des Lumières et de la Révolution, le sort des femmes avait connu quelques avancées,  fin du XIXe, on assistait à un recul de cette condition féminine.
    Côté Noblesse, les femmes n’étaient bonnes qu’à devenir de bonnes épouses, d’autant plus convoitées quelles avaient de jolies dotes. A part tenir salon, se consacrer à la religion, faire des enfants et jouer les âmes charitables, elles n’avaient guère de liberté.
    Vous montrez le pouvoir qu’exerçaient sur elles leurs maris, libres de courir la gueuse comme bon leur semblait, ou faire interner de force les plus récalcitrantes de leur épouses.
    Vos deux héroïnes, comme Mary l’Américaine, sont les prédécesseures de ce mouvement de femmes qui va petit à petit prendre en main leur  sort pour améliorer leurs conditions de vie. C’est plus tard, lors du premier conflit mondial, proche, que ce mouvement va s’accélérer, les femmes démontrant aux hommes qu’elles pouvaient quasiment se passer d’eux.

    L’origine de l’incendie est lié à l’utilisation de l’éther pour allumer le projecteur de ce qu’on appelait à l’époque le cinématographe. Pour faire le buzz, l’organisateur de cette vente de charité avait accepté qu’une équipe fasse des projections des premiers films des frères Lumière. Lors du remplissage du réservoir de la lampe du projecteur, les vapeurs d’éther s’enflammèrent accidentellement et le feu se propagea à toute allure.
    Jusque-là, la communication se faisait oralement, par écrit ou par images fixes. Dorénavant le cinéma, avec ses images animées prenait date. Après cet accident, il faillit disparaître, certains l’accusant d’être trop dangereux.  Cela stimula les chercheurs qui trouvèrent d’autres techniques pour produire le faisceau de lumière du projecteur. Quand on sait l’ampleur et la place que l’image animée prit depuis cette époque, avec le cinéma, puis la télévision, la vidéo et les réseaux sociaux, on peut se demander si ce malheureux évènement n’a pas malgré tout contribué à accélérer le développement de notre actuelle dictature de l’image.
    
    Je pourrais aussi parler de la Médecine en particulier de la psychiatrie, qui à cette époque, prenait son essor, créant une nouvelle classe d’élites, qui avait le savoir, donc le pouvoir. Ses nouveaux mandarins intouchables privaient une fraction de l’ancienne noblesse de ses privilèges.
    De même, une nouvelle religion émergeait, celle du travail. Le développement de l’industrie et des échanges commerciaux avaient créé une nouvelle bourgeoisie fortunée qui n’avait de cesse que de singer l’ancienne noblesse, tandis que des cohortes d’ouvriers miséreux s’entassaient dans des quartiers insalubres après avoir quitté  leur campagne famélique.
    La société changeait, la belle époque pointait son nez, avec ses outrances, sa frivolité, son insouciance, le développement des arts. Oubliées les victimes de la Charité, peut-être pas, mais le Phénix renaissait de ses cendres : la vie reprenait le dessus.
    

    J’ajoute quelques mots sur votre ouvrage qui a eu la faveur des lecteurs du prix « complètement livres ! »  2016. S’il a plu, c’est parce qu’il mêle habilement une belle aventure humaine avec ses joies, ses peines, à la Grande Histoire, dans  un style sobre et efficace .
    J’y ai retrouvé le romanesque de Victor Hugo, le réalisme de Zola, la comédie humaine de Balzac, la psychologie de Flaubert, c’est dire. Ce roman écrit au XXIe siècle nous replonge dans cette période  agitée, romantique et romanesque à souhait que fut  le XIXe siècle, sans pour autant être désuet : c’est bien là votre force, votre talent.
    Ainsi, quand votre plume-caméra, en un long travelling tourbillonnant, nous montre par le menu ces pauvres malheureuses qui, dans un instinct de survie, se battent pour s’extraire des flammes, on est complètement choqué, hypnotisé par vos descriptions. Vous ne ménagez pas le lecteur, mais sans jamais l’écoeurer. On se croirait au cinéma.

    L’action se passe essentiellement dans le milieu aristocratique, mais vous nous faites partager aussi le quotidien des humbles qu’ils soient valets, cochers ou cuisiniers.
    On découvre aussi le Paris de la misère, de la crasse, des  maladies de cette époque où la protection sociale n’existait pas.
    Vous montrez aussi le rôle des journalistes de presse, déjà prêts à s’enflammer pour alimenter les fausses rumeurs ou dénoncer les injustices.

    Malgré le tragique du sujet, comme une respiration, vous ajoutez un peu de poésie, en évoquant ce pochetron de Verlaine,  Baudelaire, Heredia, Mallarmé et une parfaite inconnue pour moi, Marceline Desbordes -Valmore. Merci de l’avoir mise en lumière.

    Enfin, sans doute pour remercier vos lecteurs de leur persévérante  attention, après les avoir bien secoués avec cette dramatique et captivante  histoire, vous terminez en douceur, en finesse, en  présageant une fin heureuse pour celles et ceux de vos personnages qui le méritent, laissant les autres à leur triste sort.
     Le cinéma est un peu  à l’origine de votre roman. En retour, je vois dans votre livre un bon sujet pour un film de qualité. S’il est porté à l’écran, je rêverais d’y trouver : Francis Huster le sérieux, pour le rôle de Laszlo de Nérac, Isabelle Huppert pour le rôle tourmenté de Constance d’Estingel, Juliette Binoche pour la troublante Violaine de Raezal, pourquoi pas le colossal Gérard Depardieu dans le rôle du cocher. On peut toujours y croire.

    Merci à vous pour cet ouvrage qui, au-delà de l’histoire romanesque qu’il nous livre, nous fait réfléchir sur bien des sujets de société qui restent, plus d’un siècle plus tard, d’une brûlante actualité.


    

 

 

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18 novembre 2017 6 18 /11 /novembre /2017 20:09

Gaëlle Nohant, lauréate du prix Complètement livres! nous adresse ce petit mot :

 

"Je me suis sentie vraiment accueillie et je repars le coeur réchauffée par vous tous. Gaëlle"

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14 novembre 2017 2 14 /11 /novembre /2017 18:41

Pour comprendre, il faudra venir à la remise du prix jeudi...

Teaser...
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7 novembre 2017 2 07 /11 /novembre /2017 09:30

Bonjour lectrices et lecteurs du prix "Complètement livres !"

 

Vous avez voté pour Gaëlle Nohant (La part des flammes) en 2016, venez nombreux à la remise du prix.

Nous vous attendons jeudi 16 novembre chez notre partenaire SCOP Espaces Verts (Eschau) à 19h.

Ils nous accueilleront dans leurs magnifiques nouveaux locaux et nous partagerons le verre de l’amitié. à tout vite

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